Reims, France 2011
Baptême: Rites et vie chrétienneAprès le Congrès de Reims
Après Dresde (2005), Palermo (20007) et Sidney (2009), le vingt-troisième Congrès de la Societas Liturgica s'est tenu à Reims du 8 to 13 August 2011. Pendant cinq jours, sur 260 les participants se sont retrouvés dans le spacieux centre diocésain, the « Maison Saint Sixte », rassemblement dans les cloîtres pour des discussions informelles, et dans la gothique « Salle Sorbon » pour les allocutions plénières, sous la douce lumière qui traverse les vitraux. Moreover, Reims même, une des villes les plus connues de France en raison de ses liens avec les sacres royaux, accueilli chaleureusement le Congrès, notamment dans la cathédrale historique Notre-Dame et Saint- Basilique Rémi. Tout le monde a particulièrement apprécié la célébration des vêpres dans la cathédrale, ainsi que la réception ensuite dans la crypte voûtée du Palais du Tau, qui réunissait adoration et fraternité. Le « son et lumière » projeté sur la façade ouest de la cathédrale, organisé par la Ville de Reims pour le huit centième anniversaire de sa construction, démontré à quel point ce chef-d'œuvre gothique peut servir de toile de fond aux formes contemporaines. L'Eucharistie au Temple protestant de Reims, au terme d'une journée qui a permis aux participants de découvrir les curiosités de la ville sous un ciel sans nuage, a été l'un des temps forts du Congrès, tout comme le banquet du vendredi, une soirée joyeuse qui nous a permis d'apprécier la qualité de la cuisine française.
Tous ces facteurs, avec le beau temps, fourni de bonnes conditions pour les travaux du Congrès, malgré les aspects spartiates de l'hébergement et devoir faire la queue pour les repas. Nos remerciements vont aux nombreux bénévoles, recruté par Arnaud Toury, secrétaire du comité local, qui s'est si bien occupé de nous, et dont l'aide amicale et efficace a été essentielle au succès de notre rencontre. En s'occupant du baptême, le Congrès de Reims est revenu sur un thème central d'une approche œcuménique de la liturgie. Être à la base de la vie chrétienne, Baptême, un sujet à la fois large et précis, permis à la fois une grande variété d'approches et d'écoumènes- engagement cal, ainsi qu'une ouverture aux questionnements contemporains. Le discours présidentiel de Karen Westerfield-Tucker, qui traitait de la question de la relation entre le baptême et l'Eucharistie, donne le ton de la semaine’le travail, tant par sa qualité que par son engagement à dialoguer dans la vérité. Les autres allocutions plénières – dont la remarquable qualité était unanimement reconnue – ont abordé le sujet sous des angles variés : histoire, différents aspects rituels (des textes, gestes, lieux), ecumenical, implications théologiques et éthiques, tout en tenant compte à la fois de la diversité rituelle et des défis que le monde moderne pose aux Églises chrétiennes. Ce faisant, l'objectif de faire le point sur les relations entre rituels et théologies du baptême a été atteint. Notre réflexion ne s'est pas contentée d'éclairer l'articulation entre les rites baptismaux et les aspects théologiques et éthiques, mais aussi sur l'impact des rites sur la formation de l'identité chrétienne et ecclésiale en postmod- cultures ern. L'importance des références aux pratiques baptismales de l'antiquité chrétienne- uité et le moyen âge comme repères est ici à souligner.
Comme toujours, les petits groupes de travail ont été un élément important de la réunion. Il faut dire qu'il n'y a jamais eu autant d'articles soumis (sur 90!). Les groupes de travail étaient organisés de manière différente- façon ent cette fois, en s'éloignant du système des « études de cas ». Dans l'espoir de favoriser les échanges entre chercheurs engagés dans des domaines de recherche similaires, les articles ont été organisés pour former des groupes de recherche. Cette méthode a impliqué un réel effort de la part des participants, notamment pour surmonter les barrières linguistiques. Bien que cette expérience ait bien fonctionné dans certains groupes, dans l'ensemble ça s'est avéré difficile à mettre en pratique, et n'a pas semblé vraiment satisfaisant.
Pour résumer, le Congrès nous a permis de dégager une compréhension renouvelée du baptême dans son rapport à l'Écriture et à la tradition, ainsi que de nouvelles ouvertures sur les questions posées par la modernité. De cette façon, le Congrès de Reims a ouvert de nouvelles perspectives pour présenter le baptême dans le monde contemporain. Car au-delà du désir de convergence doctrinale et rituelle permettant une communion plus profonde entre les communautés chrétiennes, notre travail visait à faciliter la proclamation du bap- tisme aux hommes et aux femmes d'aujourd'hui.
Nous pouvons certainement remercier pour la qualité des contributions et des discussions, mais il faut surtout rendre grâce pour l'événement lui-même; un congrès est fondamentalement un processus que le conseil et le comité local préparent avec grand soin, sans pouvoir contrôler tous les différents aspects et circonstances. Mais dans le processus lui-même, la diversité et l'unité des Societas deviennent manifestes. C'est pourquoi les célébrations liturgiques occupent une place centrale. A Reims, la liturgie a été célébrée selon diverses traditions liturgiques et dans différentes langues. Le mémorial baptismal pendant les vêpres dans la cathédrale, avec l'UE- chariste au Temple, étaient des aspects importants de notre semaine ensemble, aspects qui ont contribué à en faire un temps de grâce. Alors que nous nous tournions ensemble vers le Christ, qui est mort et ressuscité des morts pour tous, nous avons rendu grâce pour Dieu’s cadeau d'amour sans bornes pour l'humanité qui culmi- nates dans le mystère pascal. Augustin’s « Christus totus » est bien le « corps » dont nous faisons l'expérience dans la liturgie, dans la découverte que nous sommes tous membres d'un seul corps. Les barrières linguistiques et culturelles, comme les divisions entre confessions, sont comme une image miroir nous rappelant qu'à Reims comme dans tous nos Congrès, nous ne sommes pas que des liturgistes, mais surtout sœurs et frères en Jésus-Christ, unis par un baptême dans une foi commune.
Patrick Prétot
Après le congrès de Reims
Après Dresde (2005), Palerme (20007) et Sydney (2009), c’est donc à Reims que s’est tenu le 23e congrès de la Societas Liturgica du 8 au 13 août 2011. Pendant cinq jours, et avec plus de 260 participants, ce congrès s’est déroulé principalement dans la Maison diocésaine Saint Sixte qui a offert son cadre spacieux et notamment son cloître favori- sant de multiples rencontres, ainsi que pour les conférences majeures, une belle salle gothique (Salle Sorbon) à laquelle les vitraux apportaient une belle lumière.
Plus encore la cité de Reims, l’une des plus célèbres villes de France en raison de ses attaches avec le couronnement des rois, a fourni à ce congrès une hospitalité que ser- vaient spécialement les hauts lieux que sont la cathédrale Notre Dame et la basilique Saint Remi. La célébration des vêpres à la cathé- Drallé, le mardi soir, suivie de l’apéritif dans la salle basse du Palais du Tau, fut un moment de célébration et de convivialité particulière- ment apprécié. De même le son et lumière sur la façade de la cathédrale, une réalisation de la mairie de Reims dans le cadre des fêtes du 8e centenaire, a bien montré la force de cet art gothique pour supporter une réalisa- tion contemporaine. La liturgie eucharistique au Temple de Reims, au terme d’une journée d’excursion ensoleillée, fut également un moment fort de ce congrès, avant le banquet final du vendredi soir, dont la gaieté commu- nicative fut aussi appréciée que la qualité de la cuisine française.
Tout cela, ainsi qu’une météo particulière- ment clémente, et en dépit de certains as- pects plus spartiates des conditions de loge- ment et d’accès au repas, a permis de vivre ce congrès dans des conditions satisfaisantes. On peut saluer également les nombreux « serviteurs » mobilisés par Arnaud Toury, responsable de l’équipe locale, qui par leur accueil, leur présence et leur attention ont favorisé la dimension fraternelle de la ren- contre.
Avec le baptême, ce congrès de Reims re- nouait avec un thème central pour une ap- proche œcuménique de la liturgie. En tant que fondement de la vie chrétienne, ce sujet à la fois vaste et précis, permettait en effet des approches différenciées, et en même temps, profondément œcuméniques, tout en ouvrant sur les grandes questions actuelles. La conférence inaugurale de notre prési- dente Karen Westerfield-Tucker, qui abordait la question de la relation entre baptême et eucharistie, a avec bonheur placé d’emblée nos travaux sous le signe d’un grand sérieux des approches et en même temps avec la re- cherche d’un dialogue en vérité.
Les autres conférences majeures – saluées unanimement pour leur remarquable qualité – ont abordé le sujet sous plusieurs axes : l’histoire, les divers aspects des rites (textes, gestes, lieux), les enjeux œcuméniques, théologiques et éthiques, et cela en tenant compte de la diversité des ritualités, maïs sorti- si des défis que pose le monde contemporain aux confessions chrétiennes. Ce faisant, le toi- sée de départ qui consistait à faire le point sur le rapport entre rituels et théologies du baptême, a été mené à bien. La réflexion a non seulement mis en lumière l’articulation entre les rituels baptismaux et les aspects théologiques ou éthiques, mais aussi l’impact des rites sur la formation de l’identité chré- tienne et ecclésiale dans les cultures post- modernes. On peut noter ici combien la référence aux pratiques baptismales dans les premiers siècles du christianisme ou encore celles du Moyen Age, est apparue comme un repère essentiel.
Comme d’habitude les groupes de travail ont été une part importante de la rencontre. On peut souligner que le nombre de papers proposés n’avait jamais été aussi important (plus de 90 !). Pour l’occasion, ces groupes de travail avaient pris une figure nouvelle qui se distinguait en partie, de la formule des « case studies ». Dans l’espoir de favoriser les échanges entre chercheurs ayant des intérêts communs, les propositions d’intervention (papiers) avaient été regroupées en vue de fonctionner sous la forme de groupes de re- cherche. Cette solution impliquait une réelle exigence pour les participants en invitant à dépasser les limites des séparations linguis- tiques de la recherche. Même si dans certains groupes, elle a donné d’assez bons résultats, elle s’est cependant révélée en partie malai- sée à mettre en œuvre et elle n’est pas ap- parue vraiment satisfaisante.
En définitive, de l’ensemble de ce congrès, on peut retirer une compréhension renouvelée du baptême dans son rapport aux Ecritures et à la Tradition, mais aussi une ouverture nou- velle aux questions de la modernité. Par là, le congrès de Reims ouvre des pistes pour chercher de nouvelles voies pour proposer le baptême dans le monde contemporain. Car au-delà d’une recherche de convergences concernant les doctrines et les pratiques, il s’agissait par nos travaux de contribuer non seulement au progrès de la communion en- tre les communautés chrétiennes, mais aussi de favoriser l’annonce du baptême aux hom- mes et femmes de notre temps.
Si l’on peut se réjouir de la qualité des in- terventions et des échanges, on doit saluer surtout l’événement : un congrès est d’abord un processus que le conseil et l’équipe locale préparent avec une grande attention sans pouvoir maîtriser ni tous les aspects, ni toutes les conditions. Mais à travers l’événement se manifeste à la fois la diversité et l’unité de la Societas. C’est pourquoi les célébrations litur- giques y occupent une place centrale. Et Ré-
différents côtés: Histoire, divers- les aspects rituels (Texte, gestes, lieux), œcuménique, Im théologique et éthique- plications - et tout cela en tenant dûment compte- la diversité rituelle ainsi que les défis, que le monde moderne impose aux églises chrétiennes. Le but, établir le lien entre les rites et les théologies du baptême, a ainsi été atteint. Nos réflexions ont non seulement mis en lumière le lien entre les rites baptismaux et les rites théologiques ou. aspects éthiques, mais aussi sur l'influence, les rites sur la formation de l'identité chrétienne et ecclésiastique dans le culte postmoderne- avoir des portes. A souligner également, que les références à l'Antiquité et au Moyen Âge- les pratiques baptismales comme cruciales Orien- les points de notation sont devenus reconnaissables.
Comme d'habitude, donc cette fois les petits groupes de travail ont été un élément important du congrès. C'est remarquable, que le nombre d'articles soumis n'a jamais été aussi élevé (plus que 90!). L'Ar- Les groupes de travail étaient organisés différemment que d'habitude. Le système des études de cas a été abandonné. Au lieu de cela, une tentative a été faite, renforcer les échanges entre les participants des mêmes domaines de recherche, en attribuant les communications à des groupes thématiques spécifiques- un stylo a été attribué. Cette solution a posé un défi aux participants, ils ont été contraints, surmonter les barrières linguistiques. Bien que cet ex- l'expérience a montré de bons résultats dans certains groupes, cela semble dans l'ensemble seulement mauvais- cela pouvait être mis en pratique et n'était pas vraiment satisfaisant. Dans l'ensemble, le Congrès a contribué à un il- a renouvelé la compréhension du baptême dans sa relation avec l'Écriture et la tradition et a ouvert de nouvelles portes aux questions de Mo- les reconnaître. Ainsi, le Congrès de Reims a ouvert de nouvelles voies, comment le baptême peut être proposé dans le monde d'aujourd'hui. Notre travail n'était pas que ça, selon accord doctrinal et pratique- humeurs et de promouvoir le progrès de l'unité chrétienne. Au contraire, il devrait également y contribuer, faire connaître le baptême aux femmes et aux hommes de notre temps.
Nous pouvons être reconnaissants pour la qualité des contributions et des discussions; mais nous devrions également être reconnaissants envers le Congrès lui-même. Un tel événement est un processus, que le Conseil de Societas et le Comité local préparent avec grand soin, sans perdre tous les aspects et circonstances particulières kon- pouvoir troller. Le Congrès lui-même démontre l'unité et la diversité de la société- Tâches liturgiques. Les célébrations liturgiques jouent donc un rôle important. A Reims la liturgie a été adaptée selon les différentes- traditions liturgiques chen et dans divers, la liturgie a été célébrée dans différentes traditions liturgiques et avec la diversité des expressions linguistiques. Le mémorial bap- tismal durant les Vêpres à la cathédrale ai- nsi que le culte eucharistique au Temple ont contribué spécialement à faire de cette se- maine un temps de grâce. Ensemble tournés vers le Christ, mort et ressuscité pour la mul- attitude, nous avons rendu grâce pour le don de l’amour infini de Dieu pour l’humanité qui culmine dans la Pâque. Le « Christ total » évo- qué par Augustin est bien ce « corps » que la liturgie donne d’expérimenter, en permettant de se découvrir membres d’un même corps. Les obstacles linguistiques et parfois culturels, les différences confessionnelles soulignent en creux que là, à Reims comme dans chacun de nos congrès, se rencontraient, non seule- ment des liturgistes, mais des frères et sœurs en Jésus-Christ, qu’un seul baptême a uni dans la même foi.
Patrick Prétot
Vers Dresde (2005), Palermo (2007) et Sidney (2009) trouvé la 23. Kongress der Societas Liturgica vom 8. jusqu'à 13. Au- rafale 2011 tenue à Reims. Au cours des cinq jours s'est produit 260 Participants réunis dans un centre diocésain spacieux, dem Maison Saint Sixte. Ils se sont rencontrés dans le cloître pour des entretiens informels et dans la salle gothique Sorbon, lumière filtrée par des vitraux, pour le principal- conférences.
La ville de Reims, l'une des villes françaises les plus connues en raison de son importance pour les sacres royaux, s'est montré hospitalier- lich - en particulier dans le Kathe historique- dale Notre Dame et dans la Basilique Saint- Rémi. La célébration des Vêpres en la Cathédrale le mercredi soir, suivi de l'apéritif dans la salle basse du Palais du Tau, forment un moment de solennité et de convivialité- capacité, ce qui a été particulièrement apprécié. Die Illu- mination de la façade ouest de la cathédrale, organisé par la ville de Reims à l'occasion du 800e anniversaire de sa construction, être- pointu, à quel point ce chef-d'œuvre gothique est bien adapté, aussi pour se connecter avec des formes contemporaines. La célébration de l'Eucharistie à l'église réformée de Reims à la fin d'une journée ensoleillée d'excursions était juste- si l'un des temps forts du congrès. Le banquet du vendredi a été choisi pour son atmosphère communicative et joyeuse, mais bien sûr aussi à cause de la qualité de la cuisine française, particulièrement apprécié. Tous ces facteurs, ajoutés au beau temps, ont permis de bonnes conditions de travail- ments - même si le logement était assez spartiate et que vous au repas- devait parfois faire la queue. Nos remerciements vont aux nombreux bénévoles- aide utile, meurent Arnaud Toury, le secrétaire du comité local, avait recruté. Ils se sont bien occupés de nous. Leur aide amicale et efficace a été décisive- dépend du succès de l'événement. En consacrant le congrès de Reims au baptême, il s'est tourné vers un sujet, que pour une compréhension œcuménique du Li- la turgie est centrale. Le baptême comme base de la vie chrétienne présente un thème, qui était large et précis. Il a permis ainsi- probablement un large éventail d'approches ainsi qu'une ouverture aux enjeux actuels- poumons dans une perspective œcuménique. Discours de la présidente Karen Westerfield Tucker, qui traitait du lien entre le baptême et l'Eucharistie, donner le ton au travail de la semaine: donc- sans doute à cause du sérieux de son Vorge- les poules, ainsi qu'à travers elle, qu'elle s'est engagée dans un dialogue de vérité.
Les autres grandes conférences, leur être- la qualité remarquablement élevée a été largement saluée, abordé le sujet sous différents angles: Histoire, divers- les aspects rituels (Texte, gestes, lieux), œcuménique, Im théologique et éthique- plications - et tout cela en tenant dûment compte- la diversité rituelle ainsi que les défis, que le monde moderne impose aux églises chrétiennes. Le but, établir le lien entre les rites et les théologies du baptême, a ainsi été atteint. Nos réflexions ont non seulement mis en lumière le lien entre les rites baptismaux et les rites théologiques ou. aspects éthiques, mais aussi sur l'influence, les rites sur la formation de l'identité chrétienne et ecclésiastique dans le culte postmoderne- avoir des portes. A souligner également, que les références à l'Antiquité et au Moyen Âge- les pratiques baptismales comme cruciales Orien- les points de notation sont devenus reconnaissables.
Comme d'habitude, donc cette fois les petits groupes de travail ont été un élément important du congrès. C'est remarquable, que le nombre d'articles soumis n'a jamais été aussi élevé (plus que 90!). L'Ar- Les groupes de travail étaient organisés différemment que d'habitude. Le système des études de cas a été abandonné. Au lieu de cela, une tentative a été faite, renforcer les échanges entre les participants des mêmes domaines de recherche, en attribuant les communications à des groupes thématiques spécifiques- un stylo a été attribué. Cette solution a posé un défi aux participants, ils ont été contraints, surmonter les barrières linguistiques. Bien que cet ex- l'expérience a montré de bons résultats dans certains groupes, cela semble dans l'ensemble seulement mauvais- cela pouvait être mis en pratique et n'était pas vraiment satisfaisant. Dans l'ensemble, le Congrès a contribué à un il- a renouvelé la compréhension du baptême dans sa relation avec l'Écriture et la tradition et a ouvert de nouvelles portes aux questions de Mo- les reconnaître. Ainsi, le Congrès de Reims a ouvert de nouvelles voies, comment le baptême peut être proposé dans le monde d'aujourd'hui. Notre travail n'était pas que ça, selon accord doctrinal et pratique- humeurs et de promouvoir le progrès de l'unité chrétienne. Au contraire, il devrait également y contribuer, faire connaître le baptême aux femmes et aux hommes de notre temps.
Nous pouvons être reconnaissants pour la qualité des contributions et des discussions; mais nous devrions également être reconnaissants envers le Congrès lui-même. Un tel événement est un processus, que le Conseil de Societas et le Comité local préparent avec grand soin, sans perdre tous les aspects et circonstances particulières kon- pouvoir troller. Le Congrès lui-même démontre l'unité et la diversité de la société- Tâches liturgiques. Les célébrations liturgiques jouent donc un rôle important. A Reims la liturgie a été adaptée selon les différentes- traditions liturgiques chen et célébrées dans différentes langues. La commémoration du baptême lors des vêpres dans la cathédrale ainsi que la célébration de l'Eucharistie dans l'Église réformée y ont particulièrement contribué., pour faire de cette semaine un temps de grâce. Se tourner vers Christ ensemble, qui est mort et ressuscité pour les nombreux, nous avons rendu grâce pour le don de l'amour infini de Dieu pour l'humanité, culminant avec la Pâque du Christ. "Le Christ tout entier", dont parle Augustin, est bien le "corps", que nous expérimentons dans la liturgie, en nous expérimentant comme membres d'un seul corps. Les obstacles linguistiques et parfois culturels et les différences confessionnelles erin- nern uns daran indirect, que nous sommes à Reims, comme pour tous nos congrès, se sont réunis non seulement en tant que spécialistes de la liturgie, mais comme sœurs et frères en Jésus-Christ, qui sont unis dans une seule foi par un seul baptême.
Patrick Prétot